jeudi 30 octobre 2008

Mica !

Soucis !

mardi 28 octobre 2008

Droit !

Vous savez quoi ? Je fais de l'eczéma et je mange du chocolat.
Mais pourquoi ? J'ai tout pour être heureuse : un appart sympa, une gamine qui n'est pas là, un amoureux aaaah...
Et puis non, y a quelque chose qui cloche. Et cette cloche, ce bourdon, cette grosse Bertha, c'est LA FAC DE DROIT. Ces mots me font frémir rien qu'en les écrivant, brrrr ! A moins que ce ne soit le ventilateur sous le clavier.
Bref.

Retraçons le parcours :
Mi-mai, demande d'inscription en droit. Ce n'est pas ma fac d'origine, il faut faire un dossier de transfert ; on est raciste, dans les facs parisiennes. J'échappe de justesse à l'écueil transfert total/transfert partiel, parce que oui madame, si vous faites un double cursus où vous restez dans votre fac d'origine pour l'un des cursus, il faut faire un demi-transfert, vous comprenez ?
Et puis comme je rentre en L2 directement, il faut faire un dossier d'équivalence, avec lettre de motivation à monsieur-le-doyen-de-Paris-I-qui-ne-la-lira-jamais-mais-faut-faire-semblant-de-lui-demander-son-accord. La chose est faite, j'attends.

Juin : J'attends.
Je sers des glaces.
Je stagie au MNC de Sèvres.

Juillet : J'attends.
Je sers des glaces.
Je bois des verres.
Je pique-nique sur le Pont des Arts.

Août : Je bois des verres.
Je sers des glaces.
Je rencontre un magicien.
Je sers des glaces.
Je bois des verres.

Septembre : Je last-pique-nique sur le pont des arts.
Je sers TOUJOURS ces p****n de glaces.

Ma boîte aux lettres hurle famine, donc je téléphone. Et tombe sur un répondeur qui, lui, fait un coma messagique.

Plus tard : Ma boîte aux lettres bat la Somalie, donc je me déplace. Ah mais non madame, la commission d'équivalence ne s'est pas encore penchée sur les dossiers. Comment ça, on est le 5 septembre ? Et alors, il faut nous laisser le temps de revnenir de vacances et de boire le café, madame.

Encore plus tard : ma boîte aux lettres m'a laissé un testament, donc je me re-déplace. Oui, madame, la commission est passée. Oui, c'est tout. Vous êtes pressée de rentrer en cours ou quoi ?

Encore encore plus tard : Ah mais on vous a envoyé un courrier, madame, vous êtes acceptée, vous ne le saviez pas ? Attendez le courrier, madame.

Toujours plus tard : Vous n'avez pas reçu le courrier ? Ah, pourtant il indiquait que vous étiez convoquée ce matin à 11H. Oui, il est 13h, c'est dommage. Mais de toute façon, nous on ne s'en occupe plus, il faut aller à Panthéon.

Un peu plus tard : On vous a fait une dérogation pour que vous alliez vous inscrire demain entre 9h et 11h30. Vous gardez une enfant ? Bah emmenez-la avec vous ça lui fera une promenade. Et oui, à Tolbiac. Me demandez pas pourquoi on a 25 centres, madame ; pour ce que j'en sais, moi !

Plus tard : Vous êtes inscrite administrativement (bravo ! vous gagnez 3 600 points bonus ! next level). Les inscriptions pédagogiques ? Ouhla, ça on ne s'en occupe pas, il faut retourner voir à Saint-Hippolyte, madame. Non, on n'a pas de brochure des enseignements. On est in, on a tout sur internet, même si le site est illisible. Fouinez donc !

Octobre : Vous suivez les cours sans être inscrite pédagogiquement ? Il faut vous inscrire. Mais d'abord il me faut le papier confirmant l'équivalence. Ah, vous ne vous promenez pas avec ce papier constamment sur vous ? Voilà qui est étrange... Revenez avec et on verra.
*tilt* ce papier, c'est précisément celui que je n'ai jamais reçu...

Résultats :
1- je ne peux pas m'inscrire aux cours de droit de Paris I puisque je n'ai pas le papier confirmant l'équivalence
2- mon portable goûte aux joies du hors-forfait
3- mon vélo est dégonflé
4- mes nerfs ont la tête d'une pelote de laine post-attaque de Zora le chat
5- mes paquets de clopes me font le coup du "y en a déjà plus !"
6- mon eczéma chéri is back on stage
7- mon pèse-personne me fait la gu***e

Le monde tourne à l'envers, y a plus de saisons ma bonne dame : on empêche les étudiants d'étudier...

Flea ! (bis)

dimanche 26 octobre 2008

Chat !

vendredi 24 octobre 2008

Surprise !

Le leçon du jour portera sur le phénomène de surprise.
Et puis comme cela fait longtemps que je n'ai pas écrit avec mes petits doigts, il fallait bien trouver un sujet surprenant...


La surprise est une chose ardue à gérer.
D'une part, la surprise fait plaisir, tant à celui qui la fomente qu'à celle (bin oui, je parle de moi, tiens) qui la reçoit.
Toutefois, il est une différence notoire : selon la personne qui crée la surprise, cette dernière peut être le fruit de la spontanéité ou d'un creusot de tête (en fonte) assez poussé. Comprenez : ou bien la surprise est née d'un coup de tête, d'une irréflexion qui, par là, augmente le plaisir de la destinataire, et par conséquent la surprise est totale. Ou bien, la surprise est réfléchie, tournée et retournée, calculée, et par conséquent est totale aussi, puisque le destinataire ne sait pas quels méandres neuronaux (pour le cas où le specimen en question est doté d'un cerveau correctement pourvu en synapses) ladite surprise a traversés avant que de naître.
D'autre part, la surprise a ceci de compliqué qu'elle doit rester une surprise. Parce qu'une surprise découverte n'est plus une surprise, puisque, chose peu surprenante, le destinataire n'est pas surpris quand on lui fait la surprise (le premier qui me reproche de faire une phrase redondante, je le pends par les pieds à mon pigeonnier).
Evidemment, vous me direz qu'il est des personnes avec du flair ; des personnes qui, intuitivement, savent qu'une surprise va arriver. Certes. Il est aussi des personnes, plus précisément de sexe féminin, coiffées d'un béret et au bras gauche greffé d'un sac MaryPoppins, qui, elles, ne flairent rien du tout. Pour le coup, il est plutôt facile de les surprendre ; encore faut-il avoir la spontanéité que requiert l'art de la surprise, et c'est là que réside le plaisir de recevoir ladite surprise.

Attention, toutefois, à ne pas mésestimer les personnes incapables de faire des surprises elles-mêmes alors qu'elles adorent en recevoir. En effet, si du côté de ces personnes-là les surprises ne fonctionnent pas, c'est surtout parce qu'elles ont en face d'elles un personnage trop surprenant. Donc, c'est pas d'ma fôte. Et comme - x - = + (cf. vos cours de maths de 4ème, ceux où on faisait du lancer de cochons Kinder à coups de règle), et bien surprise x surprise = pas de surprise. Si l'on en revient à nos mouflons, cela veut simplement dire que quand je fomente une surprise à mon surprenant amoureux, ma surprise tombe systématiquement à l'eau parce qu'entre-temps, lui m'aura fait une surprise. En gros, la surprise est neutralisée par une autre surprise, et pour le coup, c'est aussi dur à digérer qu'une choucroute sans citrate de bétaïne.
Voilà qui n'est pas bien grave, me direz-vous : c'est l'intention qui compte... Oui, enfin la dernière fois que je me suis dit cela, c'est quand ma grand-mère m'a offert une poupée pour mes 20 ans.

Mais plutôt que de gloser sur la psychologie humaine génératrice de surprise, Buffonisons-nous et classifions les surprises.
Il y a les surprises qui font boum dans le coeur sans besoin d'invoquer Oldelaf, telle la rose rouge ou l'apparition inopinée (et OhMonDieu mais j'étais pas coiffée aujourd'hui, ferme les yeux !).
Il y a les surprises qui surprennent même le sujet surprenateur (on finit par avoir l'habitude de mes néologismes), tels les gnocchi au gorgonzola ou Prodigy.
Et puis il y a les mauvaises surprises, comme le CCP qui vous dit d'aller vous faire cuire un oeuf chez André, ou le talon qui se coince dans une grille du métro pile le soir où l'on ne voulait pas se coller l'affiche.

Après, il y a les appareils qui fonctionnent sur prise, les prises sûres en escalade, les multiprises antifoudre, et les entreprises. Mais enfin quelque chose me dit que vous ne prisez pas tellement ce genre de dissertation.

iPod !

Magie ! (bis)



credits to Emmanuelle...

Chartiste !

jeudi 23 octobre 2008

Cours !

mardi 21 octobre 2008

Un peu de clémence


Vous avez vu ? J'ai fini de bouder ! Vous pouvez à nouveau vous exprimer...
MAIS parce que je reste une affreuse Edvige, j'ai décidé qu'avant d'être publiés, les commentaires seront désormais lus par moi. Oui oui, je gère.
A bon entendeur...

Blues !

lundi 20 octobre 2008

Déjeuner !


Ce dimanche 19 octobre 2008,
So' a préparé le déjeuner (pour des vrais gens).
Notez bien cela.

mardi 14 octobre 2008

//mise au point, prise de poings//

Je suis un tyran. Un despote. Une impératrice byzantine. Un Kim-Jong II en jupons.

Il y a peu, j'ai osé, osé, dis-je, censurer des commentaires.
D'ordinaire, je ne touche pas à vos commentaires, parce qu'il me font plaisir, parce qu'ils sont drôles, et surtout je les autorisais dans l'idée que ça ne fait jamais de mal à quelqu'un qui dessine de recevoir l'avis de ses lecteurs.

Oui mais, et c'était le risque, ce blog a pour sujet principal, essentiel et fondateur MOI et MA vie. Donc forcément, ça ne plaît pas à tout le monde. Des gens qui prétendent m'évacuer de leur existence ont le culot de venir jeter un oeil ici, en sachant pertinemment qu'ils y trouveront des éléments de tourment. Et les comments-boxes deviennent des boîtes à ironie - lâche, de surcroît, grâce à l'anonymat qu'elles proposent.

Sauf que, bien que j'en aie fortement l'air, je ne suis pas complètement niaise. Je nie toute responsabilité face à ces personnes-là : le petit bout de toile que je me suis approprié est un espace qui m'appartient d'abord, et j'estime ne pas avoir à masquer des événements par peur que dans l'éventualité hypothétiquement probable, d'aucuns s'en trouvent -à tort - lésés.
Ce blog, je l'ai créé comme un exutoire, et il est devenu ma petite bulle, dans laquelle je m'éclate (sans éclater la bulle elle-même, haha trop forte je suis !) et que j'ai le plaisir toujours renouvelé de partager avec vous. J'ai retrouvé la joie de vous bombarder de dessins, j'y passe mes nuits insomniaques (Dieu sait si elles sont fréquentes), j'en bave devant mon PC, je bassine mes potes avec ce blog ; mais au final c'est toujours la même euphorie quand je poste. Dessiner, c'est pour moi partager : puisque je me fais plaisir, vous pouvez prendre aussi ce plaisir, et voilà tout.

Aussi, la seule solution qui me permette de laisser à ce blog la bonne humeur qui le caractérise a donc été de supprimer la possibilité d'écrire des commentaires. Vous m'en voyez désolée, car le seul moyen qui reste de me communiquer vos avis ou vos blagues, c'est encore de me les e-mailer...

Lisse !

Terraillon !

Zora !

Patronne !

jeudi 9 octobre 2008

Spéciale kassdédi !

Parce que remasterisé, il a quand même plus de g****e, hein ?

Flea !




mercredi 8 octobre 2008

Réveil(s) !

mardi 7 octobre 2008

Serre-tête-de-noeud !

Y a un truc !

Métro !