jeudi 10 avril 2008

Véto !

Cela va faire un certain temps que je n'ai pas remis le nez par ici...
Autant l'avouer tout de suite, je n'ai pour autant pas l'intention de m'autoflageller ('faut pas pousser le bouchon trop loin, et Maurice et moi n'avons jamais été présentés, d'abord). Pour la faire pantacourt, voire bermuda ou minishort, je dirai que j'étais dans un état psychologique proche du suicide par pendaison à l'abat-jour de ma chambre (riez ; l'abat-jour a lâché, bizarrement...) et puis finalement non, la vie c'est quand même cool.

Tenez, prenons un exemple : il n'y a que la vie qui nous permette de nous poser des questions profondément existentielles sur le monde qui nous entoure. Ma phrase précédente est oxymorique, c'est une honte.

Bref. Récemment, le TGV Nantes-Paris a été retardé par un accident sur la voie, à savoir : un familicide de sangliers.














Et LA, l'on se demande : mais quelle est donc la femelle du sanglier ? J'ai été fort vexée lorsque mon sanglier à moi a mis le groin sur cette lacune dans mon omniscience sélective (on est littéraire ou on ne l'est pas). J'avais un trou.
Eh bien, d'ores et déjà, ledit trou est comblé : la laie, mesdames et messieurs. Je vous épargne l'étymologie, par respect pour ceux que cela agace... Notez que non, après tout c'est mon blog, par conséquent j'y fais ce que je veux : < *leha, ae ou *leia, ae, sens inconnu. Je plains donc au passage les Léa, de même que la pauvre Nathalie Portman.

Tant que l'on y est, les femelles à noms étranges :
le lèvre --> la hase
le zèbre --> la zébresse
le moineau --> la moinelle (et non pas la moniale, j'en vois qui pouffent déjà...)
le chamois --> la chèvre (hé oui)
le bouquetin --> l'étagne
la perdrix --> la chanterelle (rien à voir avec le champignon)
le poêlon --> la casserole
le Ricard --> l'eau (ou la gorge, remarque...)
... et caetera !

C'est bien, je fais des posts culturels, maintenant...

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